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Les rêves de mon inconscient

12 juin 2011

La perte du nouveau-né (10 juin 2011)

Depuis que, le jour, j'essaie de faire face a l'état de conscience pure, et que je tente petit a petit de me libérer de l'inconscient en moi qui nourrit mes émotions et pensées négatives, la nuit je rêve d'avantage.

Voici donc mon premier rêve depuis des années dont le souvenir m'est accessible. Il s'est produit le 10 juin 2011. C'est d'ailleurs l'angoisse engendrée par ce rêve qui fut la cause de mon réveil.

Je suis dans un endroit imprécis, c'est a dire que je ne sais pas vraiment ou se situe l'histoire, a part peut être le fait que je me retrouve dans une très grande salle, et donc pas en extérieur. Ce qui me fait ecrire cela, c'est d'abord la perception de lumieres artificielles autour de moi, comme de gros néons ou spots, que l'on trouve par exemple dans les centres commerciaux.

Je tiens dans mes bras un nouveau-né. Ce n'est pas le mien, c'est celui de ma mère qui vient d'accoucher. Je regarde ma mère et elle est aussi jeune que le jour ou elle a m'a eu, mais moi j'ai mon âge actuel. Je n'ai pas d'interaction avec elle, mais je sais qu'elle est au même endroit que moi, avec mon père, et ma soeur.

J'ai déjà tenu dans mes bras par le passé des nouveau-nés, et je reconnais et sens la fragilité de celui que je porte, de part son poids et sa taille. Le nouveau-né dort. Il n'émet aucun son.  C'est alors que je me rends compte que je ne suis pas seule avec ma famille, mais qu'il y a beaucoup de monde autour de nous, qui eux font énormément de bruit. Il y a une cinquantaine de personne ou plus autours de nous, et beaucoup de va et vient. Nous sommes tous réunis au même endroit pour célébrer un événement (je ne sais lequel) avec des membres de l'église a laquelle j'ai appartenu lorsque j'étais enfant.

Ces personnes font parti de mon enfance et de l'église que j'attendais petite alors que mes parents n'y allaient pas et les connaissent a peine. (Je précise que je n'y allais pas seule enfant, mais avec ma nourrice). C'est l'incompréhension pour moi a ce moment du rêve de tous les voir réunis en ce même lieu. Il y a des enfants qui court, des adultes qui mange, des antillais, des africains, des anglais, des sud americains et des européens. Je ne les distinguent pas vraiment mais je sais qu'ils sont la car j'entends leurs voix fortes et leurs rires. Il y a aussi d'autres nouveaux-nés dans cette grande salle et les gens se les passe de bras en bras pour les admirer et leur porter leur attention.

Je discute du prénom avec une personne que je pense etre ma mère ou mon père, et leur demande comment se prénomme l'enfant. Il me dise que c'est Marie, mais qu'ils n'ont pas encore choisi l'autre moitié du prénom. Je leur dis de ne surtout pas mettre Anne devant, car ce prénom composé n'a été populaire que durant l'année 1931. Je leur propose Sarah-Marie, mais je n'entend, ou ne me rappelle pas de la réponse.

Les voix se font de plus en plus forte, et les va et viens plus incessants. C'est alors que je regarde a nouveau cet enfant dans mes bras et réalise que ce n'est pas le même que tout a l'heure: le nouveau-né que je portais dans mes bras au début n'est plus le même, ce n'est pas le bon !

Je décide de me lever et d'aller vers divers groupes de gens éparpillés pour le retrouver mais personne ne me prete son attention. Les autres enfants que je découvre ne sont pas lui/elle. Je commence a avoir peur. Je ne vois nul par le nouveau-né que je portais dans les bras a l'origine. Ma soeur? Mon frere? Je ne le trouve nul part.

Je commence a élever la voix avec une inquiétude certaine, voir de la panique pour que l'on m'écoute. Je crie "Arrêtez ! Ce n'est pas le moment de parler et de vous amuser, ou est le nouveau-né ? L'avez-vous vu ?" Mon coeur bat tres fort maintenant. Je tiens toujours ce nouveau-né dans mes bras, celui qui n'est pas le mien, ni celui de ma mère et les gens autours de moi ne me prête toujours aucune attention. 

Je me réveille !

 

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12 juin 2011

Souvenirs d'un premier rêve (2006)

Il parait bien difficile, avec le temps qui passe, de se souvenir de ses rêves. D'ailleurs, je vais me l'avouer tout de suite ici, je ne me souviens d'aucun de mes rêves depuis mes 30 et quelques années a part un. Comme il est facile d'oublier ce que l'on décide consciemment ou pas d'oublier ! Il suffit de se bourrer d'artifices malicieux en tout genre, le soir de préférence, de ne pas y prêter attention, et de rester dans l'inconscient.

Puisque j'entreprends aujourd'hui de faire face a la réalité de ma conscience, et de chasser ces artifices, il m'arrive donc de rêver plus. Et c'est avec enthousiasme que je chercherai a déposer ces histoires-rêves sur cette page virtuelle.

Il y a donc un seul rêve que je n'ai pas oublié a ce jour et c'est peut être parce que je l'ai plusieurs fois conté a certains de mes amis qu'il m'est resté en mémoire. La mémoire - et le temps- nous joue souvent des tours, alors il est possible que les détails de ce rêve soit un peu modifié par ces deux clowns. Mais je me fais relativement confiance quand a sa ligne directrice. C'est en fait le genre de rêve que l'on n'oublie pas facilement. Ce rêve s'est produit en 2006, dans les environs de Boston, MA, alors que je tentais désespérément de rafistoler une relation intime qui partait a la dérive - relation qui éventuellement sombra dans l'échec amoureux.

Le rêve commence ainsi:

Je suis chez moi, dans une maison ou un appartement au R.d.C. On sonne a la porte et je l'ouvre pour y découvrir deux jeunes gens, une fille et un garçon. Ils ont a peu près le même âge, d'une vingtaine d'années chacun, a un ou deux ans près, et sont plus grand en taille que moi. Je ne les avais jamais vu auparavant, mais pourtant ils ont un air familier. Je n'arrive pas a voir les détails de leurs visages, pourtant je les reconnais immédiatement, avec leurs grands sourires: ce sont mes petits-enfants, et je suis leur grand-mere. 

Je m'aperçois donc a cet instant (dans mon rêve), que je suis âgée, bien plus âgée que mes 30 ans de l'époque et pourtant cela ne me semble pas etrange du tout. Je pense avoir entre 75 ou 80 ans. La fille - ma petite fille donc - est particulièrement surexcitée de joie et j'en connais aussi la cause: elle viens de réussir son examen du permis de conduire, et son frère, a ses cotes, est également heureux pour elle (lui-meme est déjà détenteur de ce permis).

Ils ont un air joyeux. Sur leurs visages, en plus de leur excitation, je lis un air de connivence. Je suis très heureuse pour elle. Apres une courte embrassade, elle m'entraine a sortir au dehors de la maison en me disant de venir voir la 'surprise'. La, dans la rue, est parquée une voiture noire qui semble neuve - ou alors d'occasion, mais en tout cas, elle semble neuve pour eux. Ma première pensée, que je garde pour moi, est que leur parents ont fait une folie financière. Je ne vois en rien ce qui pourrait les exciter autant, mais ils insistent pour que je m'en approche.

Au premier abord, la voiture ne ressemble a rien d'autre qu'a une voiture banale. Je lis pourtant dans leurs yeux une excitation certaine et encore de la connivence. Ma petite-fille tient absolument a ce que je la regarde et a ce que même je parte faire un tour avec eux. Je n'avais pas prévu de m'en approcher autant, ni de m'assoir derrière le volant et c'est pourtant ce que ma petite fille insiste que je fasse. Mon petit-fils lui s'installe a l'arrière, et la fille sur le siège passager, et elle me dit de l'essayer et de prendre la place du conducteur. 

Je lui répond que c'est elle qui vient d'avoir son permis et qu'il serait donc plus logique qu'elle conduise, mais encore une fois elle insiste et je perçois cette fois encore mieux en eux l'intention de me surprendre, de me montrer quelques chose de bien particulier. Ils rient tous les deux sous cape et ils ont les yeux brillants, malins. Je ne cherche pas a les décevoir et suis curieuse, mais je n'ai pas envie de conduire !

Je veux leur faire plaisir et je dis: "ok, je veux bien l'essayer". Je m'installe dans la place du conducteur. La fille appuie sur le bouton du démarreur automatique et un bruit de moteur relativement doux se fait entendre. C'est a ce moment précis que je reste la bouche grande ouverte, désorientée une seconde ou deux face au vide devant moi, et que je comprends tout: je ne trouve pas le volant pour conduire, car sur ces nouveaux modèles, il ni a plus de volant !

J'entends leurs rires. Je comprends alors leurs regards et leur intention de me jouer une petite farce. Je souris face a cette situation et ma petite-fille m'explique que dorénavant, les voitures ne sont plus munies de volants "a l'ancienne". On conduit désormais avec deux petits boitiers situés a la gauche et la droite du siège conducteur. Elle me les montre et je trouve qu'ils ressemblent un peu aux boitiers de jeux Wii Fit.

Je reste perplexe face a cette nouvelle technologie et je tente - uniquement suite a leur insistance - de conduire la voiture avec les boitiers manuelles, en gardant mes bras bien parallèles au siege dans lequel je suis assise. Cela me parait compliqué, et j'ai peur d'envoyer la voiture dans les hais du voisinage. Apres a peine 100 ou 200 mètres, je leur demande de bien vouloir me faire une démonstration et je sors soulager de ne pas avoir abimé leur nouveau moyen de locomotion. 

Ma petite-fille prend ma place et nous partons tous les trois faire un tour dans la nouvelle voiture sans volant. 

 

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Les rêves de mon inconscient
  • Suite au désir de progresser dans la prise de conscience, cette année 2011, je déposerai sur ce blog ce dont je me souviens de mes rêves, dans le but d'une plus large prise de conscience. Merci au fan de l'Orth. de ma laisser en paix.
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